Détruire les rêves des autres pour oublier les siens : mécanisme d’une société en veille
Quand "Perspective" devient camouflage : une société écran pour brouiller les pistes
Introduction
"Si tu ne vis pas tes rêves, d'autres les vivront à ta place."
Cette phrase, Harp détective privé opérant à Nice, missionné pour me suivre, me harceler, me déstabiliser, l’a brandie comme un slogan. Pas devant moi, bien sûr. Jamais en face. Mais en creux, sur les réseaux. En insinuation. En poison lent.
Ce genre de phrase pseudo-inspirante n’a rien d’innocent. Elle ne vient pas d’un sage. Elle ne vient pas d’un rêveur. Elle vient de ceux qui se nourrissent des vies qu’ils parasitent. Qui détruisent les trajectoires, puis les recyclent à leur compte. Elle vient d’un système en veille, incapable de produire du sens, qui préfère vampiriser ceux qui en portent.
Harp Détective, ou la stratégie du miroir sale
Harp n’est pas un agent isolé. Il est l’incarnation d’une fonction sociale : faire taire, faire douter, faire plier. Ce qu’il déteste, ce n’est pas moi. C’est ce que je refuse de devenir. Ce que je dérange, c’est l’existence même d’une personne qui, exclue du système, continue à penser, à créer, à avancer.
Il faut imaginer leur haine : voir quelqu’un qu’ils ont tenté d’abattre marcher encore droit. Publier. Nager. Aimer. Ça les rend fous.
Alors ils balancent des maximes dégueulées de Pinterest version services obscurs : Tu ne vis pas tes rêves ? On va les vivre pour toi. Traduction : on va te les voler, les défigurer, les salir, puis te les rejeter au visage comme un échec.
La prédation relookée en coaching de vie
On ne vit pas les rêves des autres. On les assassine en douce, et on vend les dépouilles. Ceux qui répètent ce genre de phrases n’ont pas l’âme d’un mentor. Ils ont celle d’un larbin qui exécute. Qui copie, qui recycle, qui traque ceux qui osent exister.
Car le crime n’est pas de rêver. Le crime, pour eux, c’est de tenir debout sans eux. C’est de continuer à produire du sens hors du marché, hors du réseau, hors du règne du spectacle.
C’est ce que chante Régine Chassagne dans Sprawl II (Mountains Beyond Mountains) d’Arcade Fire : ce monde qui s’étend sans fin, ces "dead shopping malls" qui poussent comme des montagnes de béton, et cette voix solitaire qui danse encore. Même au cœur de l’uniformité, elle refuse de plier.
Sometimes I wonder if the world's so small / That we can never get away from the sprawl...
C’est exactement ça : ils s’étalent, ils s’insinuent, ils veulent nous réduire. Mais certains résistent encore.
La société en veille, ou l’art de retourner la faute
Cette société n’encourage pas les rêves. Elle les flique. Et quand ils persistent, elle les retourne contre leur porteur : Tu ne vas pas assez vite, tu n’es pas rentable, tu fais peur. Alors elle envoie ses petits chiens de garde. Ses Harp, ses taupes, ses têtes baissées qui se croient puissantes parce qu’elles sont armées de silence et d’impunité.
Mais un jour, tout remonte. Et les rêves qu’ils ont piétinés deviennent des bombes à retardement.
Et ce n’était pas qu’Harp
Et pour mesurer l'étendue de leur bassesse, il faut rappeler un fait : j'étais enceinte à l'époque. Une femme enceinte. Et ça ne les a pas arrêtés. Au contraire. Ils n'ont pas reculé devant ma grossesse non plus. Ils ont continué leur sale besogne, avec la même hargne, le même acharnement.
Ils sont même allés jusqu’à me harceler sur LinkedIn, derrière un faux profil au nom de "Joss Beaumont" — un clin d’œil grossier pour ceux qui ont des références.
Toujours dans l’insinuation, toujours dans la planque. Pas un mot direct, mais des signes. Des messages. Des provocations codées pour faire comprendre qu’ils étaient là, partout.
J’ai identifié trois sociétés de détectives privées reliées à ces opérations. À chaque fois, le schéma se répète : liens directs avec les lieux que je fréquentais, que ce soit dans le monde professionnel ou dans le milieu sportif. Des relais placés. Des visages complices. Des silences trop bien synchronisés pour être innocents. Leurs ramifications dépassaient largement mes lieux de vie : elles touchaient aussi la sphère politique, le journalisme, les médias, jusqu’à la production audiovisuelle.
Tous ceux qui ont voulu faire oublier leur propre vide se sont nourris de ce que j’étais, pendant que je crevais de faim. Tous ont mangé dans la gamelle.
Ce type n’était pas un électron libre. Il faisait partie d’un réseau. J’ai mis du temps à tout relier, mais tout s’est recoupé : une salle de sport où je me suis rendue — même ambiance trouble, mêmes regards, mêmes silences pleins. Je les ai vite identifiés : des liens directs avec Harp, mes anciens employeurs, et même mon employeur de l’époque. Tout ce petit monde coopérait dans le dos.
J’ai tiré les fils. Le réseau est clair. L’enquête est faite. Les connexions sont établies.
Le problème, ce n’est pas que ces gens aient agi. C’est qu’ils soient encore protégés. C’est là que la vérité devient plus dérangeante.
Ce qu’ils ont fait n’était pas juste permis : c’était cautionné. Et cela ne peut vouloir dire qu’une chose. L'État était partie prenante.
Conclusion : ce que je vis, je le dévoile
Cet article n’est pas une plainte. C’est une pièce à verser au dossier. Un avertissement. Une lumière pointée sur ceux qui agissent dans l’ombre.
Et une promesse : je ne vivrai peut-être pas tous mes rêves. Mais eux ne vivront jamais les leurs. Et je vais me charger de leur faire vivre un cauchemar.
Parce qu’ils n’en ont plus. Juste des cibles, des contrats, des vies à parasiter. Et moi, je suis encore debout.
Pour ceux que les détails de cette traque intéressent, tout est documenté dans mon livre. Les faits, les noms, les preuves. Le dossier est ouvert.
Pourquoi cette image ?
Ce chaton avec un seul croc n’est pas une coquetterie visuelle. C’est un clin d’œil venimeux. Un message codé. C’est l’image qu’il utilisait — Harp Détective — pour me faire comprendre qu’ils savaient.
Ma chatte, Vesta, avait perdu un croc. C’était un détail intime, anodin pour n’importe qui. Sauf pour eux. Pour lui. Il l’a repris, travesti en symbole, glissé dans une image soi-disant mignonne, comme une façon de me souffler : « Tu vois, on sait. On t’observe jusque dans l’ombre de ta maison. »
Ils pensent impressionner avec ce genre de signaux. Ils pensent affaiblir. Mais ce genre de détail ne crée pas la peur : il crée la preuve. Une de plus.
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