Du Hamas à la natation : entre caillassages et clapotis, il faut choisir
Ou comment les groupes criminels et terroristes se nourrissent du vide pour se faire passer pour des résistants
Citation d’ouverture :
“Ce n’est pas selon où tu es situé qu’on te juge,
mais selon de quel côté de la barrière on a décidé de te placer.”
Introduction
Il y a des mots qu’on galvaude. "Résistance" en est un. Des groupes armés, des mafias, des extrémistes religieux ou politiques s'en parent pour justifier leurs actions. Ils ne sont pas les premiers à le faire, et ils ne seront pas les derniers.
Mais il est temps de reprendre le fil logique : comment en arrive-t-on là ? Et pourquoi ces groupes — qu’ils soient islamistes, mafieux ou les deux à la fois — prospèrent dans certains contextes et pas d’autres ?
1. Là où l’État faillit, le chaos s’organise
Les groupes terroristes ou mafieux n’émergent jamais dans un État fonctionnel. Ils prospèrent sur les décombres d’un appareil étatique corrompu, faible, ou complice.
Quand l’État ne protège plus, ne redistribue plus, ne rend plus la justice — alors d’autres prennent sa place.
Mais attention — ce vide n’est pas un accident de l’histoire. Il est le fruit d’un abandon, souvent aggravé par la corruption.
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