📖 La République diluée II : la stratégie d'effacement d'une cible civile
2. La République diluée : la rage froide du citoyen lucide
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Cet article fait partie d'une série de trois volets intitulée "La République diluée : stratégie d'effacement d'une cible civile".
Dans cette série, j'expose les mécanismes d'effacement institutionnel à travers le prisme de mon expérience vécue, en démontrant comment la mécanique criminelle et le système d'État finissent par se ressembler dans leur volonté d'effacer les traces de leurs méfaits. Une série mordante et satirique, mais lucide et méthodique.
Introduction choc : l’impossible folie
Ils comptaient sur la folie. Sur le désespoir. Sur la résignation. Raté.
Ils ont misé sur l'épuisement, sur la confusion, sur l'effacement progressif de la volonté. Ils ont orchestré un harcèlement diffus, une dilution insidieuse de la responsabilité, espérant que la cible s'effondrerait d'elle-même. Mais certains esprits, au lieu de sombrer, transforment la pression en lucidité, et la douleur en rage froide.
Dans le tumulte institutionnel, il reste ceux que la tempête aiguise au lieu de les disperser.
La mécanique du harcèlement institutionnel
Le harcèlement institutionnel ne se manifeste pas par des coups spectaculaires. Il s'insinue dans les interstices du quotidien : des démarches administratives interminables, des réponses évasives, des silences oppressants. Chaque acteur, pris isolément, semble agir dans le cadre de ses fonctions. Mais l'ensemble forme une machine bien huilée, conçue pour broyer sans laisser de traces.
Il n’y a pas de chef d’orchestre apparent, mais une foule d’exécutants zélés qui s’imaginent que la cible s’effacera sous leurs petites morsures bureaucratiques.
La responsabilité se dilue, chacun se défausse sur l'autre, et la victime se retrouve seule face à un système tentaculaire.
Mais il y a pire encore que l'exclusion : le gaslighting, ce procédé aussi perfide que pervers qui consiste à faire douter la cible d'elle-même. Le système te pousse dans l'ombre, t'efface des radars officiels, puis s'arrange pour nier jusqu'à ta propre exclusion, comme si elle n'avait jamais existé.
Ils vous privent d'air, puis prétendent que l'asphyxie vient de vous.
À cela s'ajoute une manœuvre systématique : retourner la responsabilité sur la cible. Ils provoquent, tendent des pièges, usent de stratagèmes dignes des plus grossiers montages — jusqu’à recourir aux méthodes du kompromat, ces tentatives de discrédit par la fabrication ou la manipulation de "preuves".
Ils tissent eux-mêmes le filet, puis s’indignent que tu y sois pris.
Cette double peine — exclusion + gaslighting — est une stratégie redoutable pour tenter d'éroder la résistance intérieure.
La naissance de la rage froide
Face à cette mécanique implacable, la réaction attendue est la capitulation. Mais parfois, la douleur se mue en clarté, la confusion en détermination. Une rage froide naît, non pas explosive, mais incisive. Elle ne cherche pas la vengeance, mais la vérité. Elle ne crie pas, elle observe, analyse, prépare.
On pense souvent que la rage aveugle. Non : la mienne éclaire.
Face à leur bouillie institutionnelle, je suis devenue scalpel.
Cette rage devient un moteur, une force tranquille qui refuse de se laisser engloutir.
Satire mordante : l’effet boomerang
Le système, dans sa volonté de tout contrôler, finit par se piéger lui-même. À force de vouloir surveiller, il devient caricatural. Les outils de contrôle se multiplient, mais leur efficacité diminue. Ils deviennent lourds, encombrants, ridicules.
Plus ils me surveillent, plus je les observe à mon tour.
Ils voulaient une ombre, ils ont réveillé un projecteur.
Leur arsenal technologique, censé être leur force, devient leur faiblesse. Ils s'empêtrent dans leurs propres filets.
Leur Inspecteur Gadget, chargé de mes surveillances, finit par s’empêtrer dans ses propres gadgets inutiles.
Conclusion : préparation du troisième article
La lucidité ne suffit pas. Elle appelle à l'action. Et l'action, à la mémoire. Il est temps de lever le voile sur les trahisons, les compromissions, les renoncements. De rappeler que la République ne se résume pas à des institutions, mais à des valeurs, des combats, des résistances.
La lucidité appelle à l’action. Et l’action, à la mémoire. Car l’Histoire n’oubliera pas ceux qui ont trahi la République, pas plus que je ne les oublierai.
Dans le prochain article, les masques tomberont. Il sera temps de parler des traîtres, des corrompus, et de ceux qui, comme mon grand-père, a refusé de courber l’échine.
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