Produits piégés, environnement vicié : anatomie d’un harcèlement déguisé
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Note Liminaire de l'autrice
Cet article s’inscrit dans un dossier d’enquête en cours. Il fait suite à l’analyse publiée sur ce même site : « Langue des oiseaux, harcèlement et manipulation ou quand les références trahissent l’espionnage ».
Aujourd’hui, nous quittons les symboles pour revenir au concret. Au digestif, même. Car le harcèlement ciblé, lorsqu’il est bien rodé, s’insinue jusque dans l’assiette.
Maxime de Duchesse :
« Brioche achetée le 12.07.
Moisie avant le 14.07.
Reflets de France ? Reflets de décomposition.
Et une de plus. »
#RépubliquePérimée #FêteMoisie #BriocheSymbolique
1. Trois produits, une journée, même méthode
Ce samedi 12 juillet 2025, j’ai acheté trois produits au Carrefour Mayol de Toulon, qui se sont révélés impropres à la consommation :
Une brioche aux pralines roses « Reflets de France », moisie à l’ouverture le 13/07, malgré une DLC au 14/07.
Une crème dessert du rayon frais, consommée la veille, ayant provoqué un trouble digestif sévère dans la nuit du 13 au 14 juillet.
Des sushis au saumon préparés sur place, avec un poisson étonnamment gras et un riz sec, manifestement rassis.
Les photos de la brioche, encore emballée, sont disponibles. Le reste a été jeté ou consommé, pour cause d’état douteux ou de malaise. Ces faits n’ont rien d’une coïncidence.
2. Produits récurrents, surveillance manifeste
Je suis une consommatrice habituelle de ces produits. Je connais leur goût, leur aspect, leur fraîcheur. Ce n’est pas une impression : c’est une expérience. Le fait que ces anomalies portent systématiquement sur des aliments que j’achète régulièrement, parfois à jour et heure presque identiques, ce que seule une observation attentive permettrait de prévoir et qu’elles s’accumulent sur une même journée, soulève une question simple : comment savent-ils ce que j’achète ?
Je réponds : parce qu’on me surveille.
La semaine précédente, il n’y avait plus de brioches en rayon. Le stock était étrangement vide. Le samedi 12, les brioches présentes affichaient une DLC au 14. Elle est moisie à l’ouverture. L’emballage, non hermétique, permet facilement une substitution. Il suffit de replacer une brioche avariée dans un emballage neuf. Geste simple. Résultat ciblé.
3. Une logique d’usure et de provocation : du supermarché à la piscine
Ce n’est pas un cas isolé. Des faits similaires ont été constatés dans d’autres espaces publics. La piscine municipale, notamment, a fait l’objet de signalements précis au cabinet de Madame la Maire de Toulon. Produits suspects. Signaux codés autour du thème du « retard ». Gestes répétés par des individus en lien avec le personnel.
Mais ce harcèlement se manifeste aussi ailleurs, par d'autres gestes sur le thème de « l'ouverture » : ouverture volontaire des boîtes aux lettres au moment même de la réception d’un colis alimentaire éventré (bloc de glace fondu, nourriture à peine fraîche à l’intérieur) ; ouverture du cache de pare-choc arrière de mon véhicule, pour laisser le crochet de tractage apparent, sur le parking de la plage du Mourillon un jour, et le cadenas de voiture ouvert et pendouillant sur un crochet similaire sur le véhicule d’en face le lendemain ; et même une voiture laissée portes grandes ouvertes sur le parking face à l’entrée de ma résidence, le week-end précédent — fait constaté par mon homme.
Il y a une méthode. Elle consiste à rendre l’environnement hostile par petites touches, pour pousser à la faute, ou à l’épuisement. Et cela porte un nom : harcèlement.
4. Une démarche officielle et assumée
Le signalement a été transmis ce jour au Service Communal d’Hygiène et de Santé de Toulon (SCHS), accompagné des photographies disponibles de la brioche moisie. Il a été rédigé sous mon nom, avec les détails précis des produits, dates, lieux et antécédents.
Ce n’est pas une plainte en l’air. C’est une pièce à charge. Car le silence ne protège pas. Il entretient.
5. Conclusion : expertise et preuves à l’appui
Face à celles et ceux qui opposent « délire » à toute parole qui dérange, je précise :
À la rentrée 2025, je procéderai, de mon propre chef, à une expertise psychiatrique réalisée par un médecin expert des tribunaux. Ce document sera rendu public et versé à mon dossier à destination de la Cour Européenne des Droits de l’Homme.
J’entends couper court, une fois pour toutes, aux stratégies de disqualification. Si j’étais instable, je ne nagerais pas 3000 mètres en mer, trois fois par semaine. Si j’étais paranoïaque, je ne publierais pas, semaine après semaine, des articles structurés, rigoureux, sourcés. Et je n'aurais pas publié en début d'année un livre structuré et précis sur des faits similaires.
Il fallait bien une morale à cette histoire. La voici, signée Duchesse :
« Et s’il y avait une faute, ce n’est pas dans mon esprit qu’il faudrait la chercher.
Mais dans les rayons des magasins,
Dans les allées où le moisi semble, lui, en liberté. »
Suivez la prochaine maxime satirique de Duchesse sur X, dans #LesMaximesDeDuchesse
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