⚡ Shock to the system I : l’anatomie d’une manipulation qui s’effondre
🎥 Cet article en version vidéo 👉 https://youtu.be/KuOpotPeHeo
Cet article fait partie d'une série de trois volets intitulée "Shock to the system".
- Shock to the system : anatomie d'une manipulation qui s'effondre (vous y êtes) 
- Shock to the system : le QI caché, enquête sur l'intelligence subconsciente (à paraître) 
- Shock to the system : quand la quille casse – leçon d’une panne électrique (à paraître) 
Dans cette série, je démonte les rouages d'un monde qui croyait manier l'électricité du pouvoir, mais a oublié de construire la moindre mise à la terre.
À travers mon expérience et les failles béantes de nos systèmes modernes, je révèle comment la prétention de contrôle finit toujours par s'écrouler face à l'intelligence libre — celle qu'on ne mesure pas, qu'on ne vole pas, et qu'on ne dompte pas.
Une série chirurgicale, ironique, et implacable, où chaque secousse annonce l’effondrement des illusions.
Introduction
Ils voulaient la foudre. Ils ont obtenu le paratonnerre.
Depuis des années, ils tentent de me foudroyer avec leur système de manipulation bien huilé. Leur croyance était simple : à force de pression, d’insinuations, de provocations soigneusement dosées, je finirais par céder sous la décharge. Ils espéraient que le courant passerait en eux, que je me consumerais sous l’éclair qu’ils déclenchaient.
Ce qu’ils n’avaient pas prévu, c’est que je capterais chaque éclat de leur énergie pour le rediriger contre eux, par effet de ricochet. Ils croyaient m’alimenter en peur ou en soumission, mais c’est ma force qu’ils nourrissaient.
Aujourd’hui, pendant que j’écris ces lignes, c’est au son de Shock to the System de Billy Idol que je savoure leur défaite silencieuse. Ils sont en surcharge. Leur système est secoué. Et moi, je reste imperturbable.
Ils voulaient la foudre ? Je l’ai transformée en carburant. Ils essaient encore et toujours, perdant toujours plus leur temps par brassage d’air.
Leur système repose sur la croyance
Leur système est construit sur du sable car il repose entièrement sur la croyance. Il ne repose ni sur des faits, ni sur la réalité, et encore moins sur la vérité. C’est une fabrication émanant de leurs propres projections, sur leurs lectures biaisées, sur des interprétations grossières qu’ils prennent pour des certitudes.
Ils regardent à travers une loupe déformante, persuadés d’avoir compris les règles du jeu. Et moi, je n’ai rien eu à faire de plus que de laisser la loupe en place et de leur tendre les reflets qu’ils voulaient voir.
Ils ont pris leurs désirs pour des réalités, leurs fantasmes pour des vérités.
Me sachant espionnée, il suffisait que je laisse croire que j’aimais une chose pour qu’ils s’acharnent à s’en servir contre moi.
Prenons l’exemple des fruits rouges. J’observe leurs manœuvres autour de cette fausse piste, le sourire en coin. Les fruits rouges, je m’en fiche. Mais eux, ils s’épuisent à croire que je m’effondrerai sans.
C’est là que leur système révèle sa faiblesse la plus profonde : ils sont enfermés dans leurs croyances, et ils confondent leurs désirs de contrôle avec la réalité.
Je n’ai pas eu besoin de forcer. Il suffisait d’observer leurs automatismes se déployer, leur logique bancale se refermer sur eux-mêmes. Et plus ils tentent d’influencer ma trajectoire, plus ils s’enferment dans la leur.
Le paratonnerre n’a pas à chasser la foudre. Il lui suffit de l’attirer pour la conduire là où il le décide.
Leur piège se referme sur eux
Leur plan était basique, presque scolaire : insuffler des croyances dans mon esprit, petit à petit, comme on glisse un poison discret dans l’eau d’un puits.
Ils pensaient m’implanter des idées étrangères, distiller des doutes fabriqués, m’orienter par suggestions, par sous-entendus savamment calculés.
Ils espéraient que je finirais par penser ce qu’ils voulaient que je pense.
Ce qu’ils n’ont jamais compris, c’est que je suis un terrain stérile pour leurs illusions.
Chez moi, leurs graines de manipulation ne prennent pas racine. Leurs slogans glissent comme la pluie sur le paratonnerre.
J’ai vu leurs tentatives d’implantation mentale, comme le faisait la propagande en temps de guerre durant les années les plus sombres de notre Histoire. J’ai vu leurs petites stratégies d'influence, et je les ai laissés s’agiter autour de moi comme des apprentis sorciers en plein délire de contrôle.
Moi, je les ai simplement regardés planter leurs graines pourries dans un sol qui refuse d'être contaminé.
Pire encore pour eux ; à force de s’acharner, ils se sont révélés, pour mieux les repérer et les pister ensuite. Chaque tentative de manipulation est une signature, une empreinte digitale qu’ils laissent sur le dispositif. Chaque manœuvre dévoile leurs intentions, leurs craintes, leurs obsessions.
Ce n’est pas moi qu’ils contrôlent. C’est moi qui les regarde s’enferrer dans leur propre piège.
Le paratonnerre attire la foudre sans jamais brûler. J’attire leurs attaques et j’en retire des informations précieuses à chaque éclair tombé.
Ils ont cru que j’étais leur cible. Je suis devenue leur observatrice silencieuse.
Une vaine montée de pression
Ils essaient encore. Ils s’agitent, ils gesticulent, ils redoublent d’efforts pour faire grimper la pression autour de moi.
Ils sont comme ces gamins capricieux qui, voyant que leurs cris n'ont plus d'effet, crient plus fort encore dans l’espoir de se faire entendre. Mais c’est trop tard. Je suis sortie de leur terrain de jeu.
J’ai retrouvé ma santé, mon endurance, mon énergie. J’ai retrouvé mes fou-rires, ma gouaille légendaire, mon mordant naturel. Et chaque jour, je me renforce un peu plus, pendant qu’eux s’épuisent à vouloir faire monter une tension qui n’a plus de prise sur moi.
Leur système est en surcharge. Leurs stratagèmes de manipulation tournent à vide. Ils brassent de l’air, persuadés d’agiter des tempêtes.
Mais le paratonnerre ne craint pas les orages. Au contraire, il les attire, il les capte, et il reste debout, imperturbable. J’avance sans sourciller, pendant qu’eux s’épuisent à lancer des éclairs dans le vide.
Et je souris, parce que je connais déjà la suite. La seule chose qu’ils électrisent aujourd’hui, c’est leur propre échec.
Billy Idol l’a bien chanté dans Shock to the System : la secousse n’est plus dans mon camp. Le choc, c’est dans leur système qu’il frappe désormais.
Pendant qu’ils s’agitent, moi, je glane. J’enregistre, j’analyse, je construis mes articles, mes vidéos, mes recueils.
Chaque éclair qu’ils tentent de m’envoyer me donne plus d’énergie. Leur acharnement devient ma ressource.
Chaque tentative de manipulation me nourrit.
Chaque éclair tombé sur le paratonnerre renforce la structure que je bâtis jour après jour.
Pendant ce temps, eux se consument à vouloir me foudroyer. Ironique, n’est-ce pas ? Maintenant qu’ils sentent que le temps des orages arrivent, ils font semblant de rien et essaient pitoyablement de me retourner la responsabilité. Voici le compliment qu’ils m’ont fait autrefois et que je leur retourne à mon tour aujourd’hui :
"Les forts trouvent des solutions. Les faibles trouvent des excuses."
La moisson du paratonnerre
Pendant qu’ils s’agitent, je moissonne. Je récolte leurs erreurs, leurs contradictions, leurs automatismes de marionnettes qui s’ignorent.
Leurs éclairs tombent sur mon paratonnerre, et je recueille patiemment l’énergie qu’ils déversent sans comprendre.
Chaque tentative de manipulation est une pièce de plus dans le puzzle que je reconstitue.
Chaque provocation avortée est une preuve de leur essoufflement.
Chaque posture qu’ils adoptent me dévoile un peu plus leurs ressorts internes.
Ils travaillent pour moi sans le savoir.
Leur agitation fébrile nourrit mes articles, mes vidéos, mes recueils. Ils sont les ouvriers malgré eux de ma propre cathédrale d’écriture.
Je bâtis pendant qu’ils s’écroulent.
Ils croient encore faire monter la pression ? Tant mieux. Je la recueille, je la transforme, et je l’inscris noir sur blanc, ligne après ligne, dans mon témoignage irréfutable.
Chaque jour, je consolide ma mémoire stratégique, pendant qu’eux dissipent la leur dans des assauts inutiles.
Ils voulaient m’user. Ils se consument eux-mêmes.
Conclusion
Ils ont cru que leurs attaques finiraient par m’abattre.
Que leurs éclairs successifs me feraient céder, que leurs manipulations finiraient par entamer ma détermination.
Ils ont misé sur l’usure, la lassitude, la fatigue du combattant isolé.
Mais ils n’ont pas compris que je suis devenue leur paratonnerre, insensible à leurs décharges, indifférente à leurs gesticulations électriques.
Chaque jour, ils s’épuisent à projeter la foudre sur moi, persuadés de me fragiliser, alors que c’est leur propre système qui se fracture sous la surcharge.
Ils ne m’ont pas brisée.
Ils m’ont rendue plus forte.Ils n’ont pas détourné mon esprit.
Ils m’ont donné matière à écrire.Ils n’ont pas contrôlé mon récit.
Ils sont devenus les pantins du mien.
Et maintenant, que leur reste-t-il ?
Des procédures, des menaces vides, des tentatives de contrôle qui s’évaporent dans l’air comme un courant dispersé dans le néant. Qu’ils fassent gronder le ciel, qu’ils multiplient les éclairs. Je suis prête.
Et pour eux, il ne restera que cette certitude froide et implacable :
Ils pourront toujours porter plainte. Il n’y aura plus personne au bout de la ligne.
Post-scriptum : Anecdote électrique
On pourrait croire que je pousse la métaphore du paratonnerre pour le style. Pourtant, elle n’est pas si imagée que ça.
Lors de travaux, j’avais senti, littéralement, dans les jambes que le triphasé allait claquer. Comme si le court-circuit passait par mes pieds, remontait dans mes jambes, et me prévenait du choc à venir. Pas d’appareils de mesure, pas d’alarmes sonores, rien de visible. Juste cette sensation physique, brute, instinctive.Les anciens du métier disent : "Je ne mets pas toujours la main pour tester, je sens dans les pieds que ça va claquer." Je confirme. Ça a claqué.
Finalement, que ce soit sur les chantiers ou dans la vie, je capte les décharges avant qu’elles ne tombent.
Et pendant que certains brassent l’air en pensant provoquer l’orage, moi je sens les tensions monter, et je reste debout, prête à transformer la foudre en énergie maîtrisée.
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